vendredi 10 octobre 2014

Toujours sur Amazon.it : coffrets Maazel

Si vous n'avez pas encore passé commande sur les mentions précédentes, vous pouvez également réfléchir à joindre à votre commande les deux nouveaux coffrets consacrés par Decca au chef Lorin Maazel, disparu cet été.


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http://www.amazon.it/gp/product/B00KYB2I7S/ref=as_li_ss_tl?ie=UTF8&camp=3370&creative=24114&creativeASIN=B00KYB2I7S&linkCode=as2&tag=bonsplanscl0c-21Dans le coffret Lorin Maazel à Vienne (9 CD) on retrouve les deux superbes intégrales symphoniques effectuées avec les Wiener Philharmoniker, consacrées à Tchaïkovski et à Sibelius. Toutes deux sont des piliers de la discographie, parmi les valeurs sûres qu'aura laissées Maazel. S'y ajoute un disque également très bon consacré à Richard Strauss, avec le Don Juan et Mort et transfiguration.

Paru cet été aux alentours de 40 €, ce coffret est actuellement à 24,49 € sur Amazon.it.



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http://www.amazon.it/gp/product/B00M14IEQA/ref=as_li_ss_tl?ie=UTF8&camp=3370&creative=24114&creativeASIN=B00M14IEQA&linkCode=as2&tag=bonsplanscl0c-21
Le coffret « The Cleveland Years » (19 CD) réunit quant à lui pour la première fois tous les enregistrements de Maazel avec l'orchestre américain, dont il prit la tête à la suite de George Szell (après l'intérim de Boulez) en 1972, pour une décennie. On redécouvre ici également la qualité de certains enregistrements de Maazel, dans ses Debussy (La Mer où comme toujours Cleveland excelle, mais aussi et surtout Jeux), dans le Poème de l'extase de Scriabine... On retrouve aussi des références qui avaient échappé aux rééditions en CD, une intégrale Brahms de belle facture, et un concerto pour violoncelle d'Elgar avec Lyn Harrell (meilleur que le remake avec Pittsburgh et Yo-Yo Ma).

Prévu pour le 14 octobre aux alentours de 75 €, ce coffret est actuellement en précommande au prix minimal sur Amazon.it, à 59,12 €. Le prix sur Amazon.fr prête à sourire en comparaison : 136,38 € !


On n'y retrouvera pas les enregistrements Sony, mais il n'est pas sûr que la musique de Serge Lama manque à grand monde...